Le mail des RH vient de tomber, votre PME organise un Secret Santa et il va falloir trouver, à 10, 15 ou 20 balles, un petit cadeau. Mais si, cette année, on changeait le concept ? Les Américains de The Strategist, la branche conso du New York Mag, ont imaginé une nouvelle mécanique, avec un outil en ligne, pour que les cadeaux que vous allez offrir (ou recevoir) soient personnalisés au goût des autres, sans connaître pourtant leur identité.

3 mots et je reste

Pour ce remix du Secret Santa, chaque participant ne tire pas un nom, mais se voit assigner 3 mots, via un outil en ligne, pour définir le cadeau qu’il doit se procurer. Une proposition pratico-poétique : de notre côté, on a reçu comme mots "pour l’âme / lourd / festif" ou "pour le bureau / petit / brillant", de quoi vous mettre sur la piste pour trouver les petits présents. L’évidence : on aura tous une interprétation de ces mots, et quand certains achèteront une agrafeuse, d’autres iront tout droit dans les paillettes.

Le jour du Secret Santa venu, les cadeaux emballés sont mis sur une pile, avec les mots sur l’étiquette, et chacun son tour, les personnes choisissent le paquet qui leur plaît selon cette définition. Si les gens ont joué le jeu, vous devriez ouvrir un paquet contenant quelque chose d’un peu plus en lien avec ce que vous aimez.

Pour tester cette nouvelle version du Secret Santa, The Strategist a mis en ligne un outil très simple, où il suffit d’entrer les mails des participants, qui recevront chacun les 3 mots d’instructions. Pour l’organisateur, prenez juste quelqu’un qui parle anglais, pour ne pas vous paumer en route. L’outil en ligne se trouve ici.

© Apple TV

Dans Pluribus, la nouvelle série de Vince Gilligan, l’humanité se fait grand-remplacer le cerveau. Notre journaliste série Delphine Rivet s’est penchée sur la série Apple TV la plus attendue de l’année, et sans trop en dire, nous raconte dans sa critique comment l’apocalypse n’a jamais semblé aussi chill. Quitte à y passer, autant que ce soit avec le sourire ?

Ici c’est 1B, pour l’immense rigolade et l’extra place pour mes gambettes.

Je suis biaisé parce que c’est un ami de la maison, mais le passage de l’Internet à la brique de l’excellent shop Suuupply est grandement validé. Passez-y, au 27 rue de Saintonge à Paris, même juste pour voir le mobilier en bois imaginé avec l’artiste néerlandaise Lotte Schoots. Et si votre porte-monnaie en prend un coup, dites-vous que dans plein de musées, parfois le plus cool, c’est la boutique à la sortie.

À la semaine prochaine,
Pharrell

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