Évidemment qu’on a testé la sauce piquante de Brooklyn Beckham
Salut, c’est Pharrell. Cette semaine on ouvre un beau flacon de tequila, ah non pardon, de sauce piquante, le nouveau business des stars.
“Il faut diversifier tes assets Pharrell !” – le banquier, chaque semaine, à (l’autre) Pharrell. Moi, s’il m’appelle, c’est parce que je suis à Londres et qu’il trouve chelou que je tap ma Mastercard à peu près toutes les 14 minutes sur un terminal bancaire différent, m’offrant un style de vie plus HSBC que Crédit Mutuel le temps d’un week-end.
Un passage obligatoire chez Whole Foods, beep boop, 15 livres en moins, mais pour une bonne cause : investir dans un nouveau business de star. Car après la tequila – on pense bien sûr à 818 de Kendall Jenner ou à la Casamigos de George Clooney – c’est dans les sauces piquantes que les célébrités impriment leur identité et leurs liquidités. Le dernier à sortir son flacon, un nepo baby de 25 ans au prénom bien synonyme de sauce à l’esprit craft : Brooklyn Beckham, le fils de Victoria et David.
La bouteille, baptisée “Cloud23”, probable clin d’œil au numéro du maillot du paternel au Real Madrid, a des airs de parfum de luxe, et ce n’est pas un hasard qu’elle soit bien mise en avant dans le rayonnage à côté des sauces Truff, la sauce préférée de Jon Buscemi et maintenant largement investie des capitaux de Kim Kardashian. Mais alors, elle est bonne cette “Cloud23” ? Sincèrement, le “batch” numéro 4 au piment habanero est bien épicé comme il faut, sans pour autant faire souffrir, et ne va pas s’oublier au fond du frigo. Est-ce que le flacon vaut ses 15 livres ? Peut-être pas, mais en cadeau pour les fêtes, c’est validé.
Et si la sauce est bonne, ce n’est pas “que” parce que Brooklyn Beckham est au bon endroit au bon moment avec le portefeuille qui va avec. Non, la cuisine, c’est “vraiment” devenu son truc, comme pas mal d’entre nous finalement, depuis les confinements occasionnés par la pandémie de Covid 19, même si Vice a descendu son dernier pop-up. On ne peut pas tous être des tireurs de coups francs après tout.
Le problème, c’est pas les écrans, c’est nous : Sandra répond à la vidéo déconnexion de Léna Mahfouf. Simon s’est intéressé à 12 gars qui font du vélo. Le palmarès de nos amis du Fooding est tombé. Jules nous explique pourquoi il est grand temps de lâcher la grappe à Elsa Bois. Après Cat’s Eyes (oui, encore), Kévin adapte les autres dessins animés de notre enfance en série. Et enfin, on a classé les chansons d’anniversaire parce que c’est l’anniversaire de notre roi du ciné Arthur.
J’ai acheté ce journal qui dure 5 ans chez Papersmiths, à votre avis je le tiens combien de temps et pourquoi 2 semaines et demie ?
Les amis de la maison Suuupply ouvrent leur "suuupply suuuperstore" du 21 novembre au 1er décembre au 21, rue des Filles du Calvaire à Paris. Au menu, une sélection homme rare et pointue de tout ce qui se fait de mieux aux quatre coins du monde. Nos coups de cœur ? Les basiques ultra heavy des Américains de Camber et les mocassins G.H.Bass.
À la semaine prochaine,
Pharrell
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